jeudi, mai 31, 2007

Mauvaise langue ...

Le premier mouvement est sorti ce soir (Cf. le post intitulé "le Mouvement) ...

Beaucoup de déceptions pour certains de notre promo car, rappelons-le, nous avons le somptueux nombre de points qui s'élève à ... 1 (tout en sachant qu'il n'y a pas de points inférieurs à 1) !

Et bien tout le monde n'a pas été déçu ... et je fais mon mea culpa ... je suis une mauvaise langue.

Me voici donc officiellement nommée dans la circonscription de Melle (Ségolène, si tu nous regardes) à Melle même au poste de Titulaire Brigade Départementale.
Je vais donc devoir acheter une BMW et devenir un homme pour suivre mon idole ... l'Instit ; car oui vous l'avez deviné si je traduis le jargon de l'Education Nationale je suis une remplaçante.
Mon 4ème voeu !

J'interviendrais donc dans toute la circonscription de Melle (et plus si affinités car les brigades se prêtent entre circonscriptions). L'intérêt de Melle c'est que cette ville se situe pil-poil au centre de la circonscription et vu que je n'habiterais pas tout prêt (car M. Maoria sera soit à Poitiers soit à Angoulème) je pourrais espérer de me rapprocher de la casa.


Et non, ne partez pas ! Ce n'est pas terminé !

Parce que ayant en ce moment le fessier bordé de nouilles pour rester polie (une bonne partie de ma promo n'a pas eu d'affectation ou des voeux "par défaut"), me voilà nommée sur ce poste A TITRE DÉFINITIF ! Oui je suis titulaire de mon poste (2% des PE2 sortant) ! C'est-à-dire que si je le souhaite, et que mon poste existe toujours, il m'est possible de rester 42 ans à Melle en tant que brigade (Dieu merci j'ai d'autres objectifs).
L'intérêt d'être nommé à titre définitif c'est d'être sûr, les premières années d'enseignement où l'on a très peu de points pour le Mouvement, de garder son poste et de ne pas se le faire "piquer" par un collègue ayant plus d'expérience.

Mais réfléchissons un peu ... j'ai 1 point ... mon poste à titre définitif ... bref c'est un cadeau empoisonné (personne n'en veut ! La/le titulaire se barre !) !! Mais comme je suis une jeune enseignante inexpérimentée avec encore des étoiles dans les yeux (j'espère les garder durant toute ma carrière) et bien je me réjouis !!

La suite en septembre ;-)

Maoria

lundi, mai 21, 2007

Une histoire à quatre voix

Voici un texte ... un récit ... bon une nouvelle écrite avec un sujet imposé : Une histoire à quatre voix.

Bon c'est ma première alors un peu d'indulgence ...

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1.


Barnabé avait passé une très mauvaise journée. Mais ses problèmes avaient commencés depuis bien plus longtemps. Il pensait que tout allait changer depuis ce fameux mois de juillet mais les choses ne s'étaient pas améliorées depuis qu'ILS étaient arrivés.

En premier lieu Barnabé s'était levé la faim au ventre, comme tous les matins depuis quelques mois, sauf lorsque sa tante de la Creuse lui envoyait des petits colis. Il soupçonnait la concierge d'ouvrir les paquets et de chaparder les meilleurs cadeaux mais que pouvait-il faire.

Puis il était parti errer dans les rues vides de Paris. Quelle tristesse toutes ces avenues, autrefois si joyeuses mais désormais mornes et désertes, à part ces quelques personnes qui, le pas rapide, rejoignaient leur domicile en espérant ne pas LES croiser. C'est vrai qu'ILS leur menaient la vie dure, mais Barnabé était persuadé qu'ILS n'étaient pas si différents de lui et des autres personnes. Lui-même avait connu de bien pires moments et il se plaisait à répéter qu'il fallait obéir et agir dans LEUR sens et tout irait pour le mieux.

Tout un coup, au détour d'une rue, il vit cette famille dans le parc : deux enfants jouaient sur les balançoires tandis que les parents lui tournaient le dos. Un homme était assis sur un banc près de lui et fumait une cigarette. Malgré les visages émaciés des enfants et leurs vêtements sales et rapiécés une atmosphère de joie entourait cette famille. Barnabé eut un moue de colère : comment pouvaient-ils avoir le coeur à s 'amuser par des temps pareils ?!

Tout d'un coup les enfants se retournèrent et Barnabé les vit. Comme le nez au milieu de la figure, comme une tâche noire sur un vêtement blanc, ces choses, cette tare ... Et la colère qui était en lui depuis tant de temps éclata : ce n'était donc pas si dur de respecter quelques règles, non mais c'est vrai ! Ils ne savent donc pas lire, c'est écrit sur le panneau du parc ! Si ILS ont instaurés ces lois ce n'est pour que les premiers venus les enfreignent ! Et s'ILS les supportent encore ils devraient s'avérer heureux.

Barnabé repartit dans le but de rentrer chez lui. A chaque pas la colère montait et il se mit à reprocher à cette famille (et à tous les autres) toutes ses misères : la faim, sa famille qui lui manquait, les rues désertes ... et une incroyable envie de se venger se mit à grandir en lui. Et s'il leur causait quelques torts, après tout ils auront une bonne leçon, sûrement une réprimande et comme ça ils ne recommenceront plus.

Comme si ses prières silencieuses étaient entendues Barnabé entendit le bruit qui LES caractérisait. Bam bam .... bam bam ... L'espace d'une seconde il hésita mais le visage tellement satisfait des parents lui revint en tête. Il s'approcha d'EUX et, avec une timidité qu'il ne connaissait pas, appela la personne qui semblait diriger la troupe.

Il se mit alors à expliquer la situation et l'excitation monta en lui, il inventa alors des faits, les enjoliva. Ces gens là avaient même des objets interdits et il les avait même entendu conspirer contre EUX. Quand il se tut et qu'il vit l'air décidé de son interlocuteur Barnabé ressentit ce plaisir sadique que peuvent avoir les enfants quand ils arrivent à faire accuser le petit frère pour la casse du vase préféré de Maman.

Barnabé LES vit alors se diriger vers le parc et attendit assez longtemps pour entendre quelques cris.

« Ils ne se laissent pas faire » Pensa-t-il. « Ils auront une bonne punition c'est tout ! ». Il s'éloigna et s'arrêta net quand il entendit le bruit d'une mitraillette rompant le silence parisien.



2.


Par cette belle journée de juillet Marc n'en pouvait plus. Son appartement, qui fut sûrement autrefois une minable chambre de bonne sous les combles d'un grand immeuble parisien, atteignait des températures invivables. Mais ce n'était pas tant la montée du mercure qui lui donnait des nausées mais mais la lettre qu'il venait de recevoir.

Pouvoir lire entre les lignes était un savoir-faire indispensable en ces temps. Non pas que la lettre passait par des voies officielles mais s'ILS venaient à mettre la main dessus ILS ne devaient y voir qu'une vulgaire lettre de nouvelles d'une grand-mère à son petit-fils.

Marc dut relire à trois fois le contenu de ce courrier et ne pouvait y croire. CA existe donc vraiment. Parmi les gens de son comité des rumeurs avaient commencées à circuler sur l'existence de ces fameux endroits mais il ne pouvait croire que de tels lieux étaient créés par des humains. Il fallait donc agir car ça allait sans nul doute empirer.

L'air lui devanait irrespirable et il sortit pour prendre respirer. Marc aimait bien sortir dans Paris et se promener le long des trottoirs vides. Son emploi à la préfecture lui permettait encore de circuler relativement librement même si, ces derniers temps, les contrôles étaient devenus de plus en plus fréquents et de plus en plus insistants. Lorsqu'il allait voir le comité il devait faire preuve de mille précautions. Dans un premiers temps les trottoirs vides le déprimèrent légèrement mais il savait que beaucoup de Parisiens étaient partis et qu'il avait aidé bon nombre d'entre eux à fuir, ceux dotés de cette « tare » comme se plaisent à dire certains collègues de la préfecture.

Au détour d'un boulevard il arriva sur un petit parc et décida de faire une halte pour fumer une cigarette, une si précieuse cigarette.

Quelques minutes plus tard il vit une famille arriver. Les deux enfants qui devaient avoir cinq et huit ans s'arrêtèrent devant le parc. Ils ne pouvaient pas voir Marc qui se situait dans leur dos.

« Maman ! S'il te plait ! Le parc ! » Demanda la petite fille.

Les parents, visiblement inquiets, répondirent par la négative. Il y avait ce panneau, non c'était trop dangereux.

« In-terrrr-dit ... » commença le deuxième enfant

Le visage de la fillette s'éclaira tout en suppliant ses parents. Marc comptabilisa huit « s'il te plait ! ». Les parents regardèrent tout autour d'eux et, finalement, entrèrent dans le parc. La famille fit un quart de tour et Marc comprit enfin la raison de l'insistance de ces enfants et de l'inquiétude des parents. Un frisson l'envahit.

Marc était inquiet pour cette famille, ils prenaient de gros risques. Si ILS passaienttous les quatre risquaient d'avoir de sacrés problèmes. Un homme apparu de l'autre côté de la rue et s'arrêta pour regarder lui aussi le parc. Marc revint vers la famille : les parents avaient le visage crispé et on pouvait lire la crainte sur leurs visages. Cependant les enfants semblaient revivre complètement.

Marc, absorbé dans ses pensées, s'aperçut de LEUR venue que lorsqu'il LES entendit. ILS s'approchèrent du parc d'un pas rapide et assuré. Les parents avaient également entendu et se levèrent, blêmes.

ILS crièrent un ordre que personne ne comprit. Les enfants coururent vers leurs parents en criant mais ILS avaient été trop rapides et s'étaient interposés entre les parents et les enfants. Marc se leva et, sans réfléchir, couru vers la famille pour tenter de les protéger. Il ne pouvait pas laisser faire ça, après ce qu'il avait lu ce matin ! Dans son dos il entendit UN des leurs lui crier quelque chose mais il ne comprit pas. Tout d'un coup, un bruit assourdissant suivi d'une douleur horrible dans le dos obligèrent Marc s'arrêter. Il tomba à terre, sentant ses forces le quitter une à une, et LES vit emmener la famille avant de fermer les yeux pour toujours.


3.


Karl était debout depuis cinq heures du matin et voilà des heures (il ne pouvait les compter) qu'il attendait, immobile, dans la cour d'un luxueux immeuble parisien qu'il occupait lui et ses camarades.

Il était déjà venu, voilà quinze ans, dans la capitale française, mais le paysage qu'il vit en arrivant ne lui rappela aucunement ses souvenirs de vacances. Il faut dire que les temps avaient bien changés et même si sa jeunesse n'avait pas été facile les choses ne faisaient qu'empirer ces derniers temps. Enfin surtout depuis neuf ans où IL était arrivé au pouvoir.

Il avait commencé des études de littérature et affectionnait plus particulièrement les romans des auteurs américains. Mais tout CA avait commencé et Karl avait été enrôlé contre sa volonté dans les forces militaires. Lui qui n'était pas homme d'action s'est retrouvé une mitraillette à la main et, deux ans plus tard, a été envoyé à Paris.

Sa principale occupation consistait à attendre, debout, dans la cour de l'immeuble, sous le chaud soleil de juillet, et à faire des rondes dans les quartiers qu'ils occupaient pour « montrer la toute puissance de notre armée » disait le chef. La toute puissance ça c'est sûr ils l'incarnaient ! Ses parents lui avaient inculqués l'amour et le respect mais Karl ne voyait dans les yeux des personnes qu'il croisait que peur et crainte. Il aimait son pays oui, il avait même eu un moment où il l'aimait, LUI, mais désormais il se haïssait de représenter la terreur et la désolation.

Un mouvement de personnes sortit Karl de ses rêveries. Enfin, ils allaient sortir un peu ! Malgré tout il fallait bien se dégourdir les jambes et leurs rondes n'étaient jamais très trépidantes. Ces derniers temps ils croisaient de moins en moins de personnes dans les rues. Karl savait que beaucoup de Parisiens étaient partis vers des régions plus clémentes ; tout le monde le savait, mais ce n'était ni son problème ni celui de sa troupe.

Karl se mit en place, toujours au même endroit, il rajusta sa lourde mitraillette, épongea une goutte de sueur qui coulait sur sa tempe droite et se mit en route. Toujours au même pas, toujours au même rythme.

Après quelques dizaines de minutes ils croisèrent un homme qui semblait désorienté. Ce dernier s'arrêta puis s'avança vers son chef et, les yeux baissés, lui dit quelques mots en français. Karl avait appris quelques rudiments de la langue de Molière et comprit des mots tels que « parc » ou « interdit ».

Son chef leur ordonna alors de les suivre. Ils tournèrent à gauche et Karl vit le Français les regarder partir avec un sourire en coin. La petite troupe pris une rue qu'ils n'avaient jusqu'alors jamais emprunté car elle était attribuée à une autre circonscription. Soudain ils débouchèrent sur un parc et virent ces quatre personnes. « Ils en sont » pensa immédiatement Karl en les voyant. Ils avaient désobéit et les ordres sont les ordres, il fallait les emmener, mais où ? Il ne savait pas lui-même mais il s'imaginait que tous ces « gens » allaient travailler pour le bien de son pays tandis que lui était là à se promener dans Paris. Après tout c'est NOUS qui sommes vainqueurs, se dit Karl.

La petite troupe de soldats accéléra le pas. Quand les enfants les virent ils se mirent à crier et tentèrent de rejoindre leurs parents mais il était trop tard ; deux de ses collègues les avaient déjà attrapés et deux autres encore se dirigeaient vers les parents.

Tout à coup un homme arriva par sa droite en courant vers l'attroupement. Karl, resté en arrière, savait ce qu'il avait à faire : faire respecter l'ordre et faire peur. Il cria au passant l'ordre de s'arrêter mais celui-ci ne fit rien. Il souleva sa mitraillette pour tirer dans le sable afin d'effrayer cet homme. « Saleté de mitraillette ! » se dit-il en se laissant emporter par le recul.

Quand il releva les yeux il vit l'homme gisant à terre, une tâche rouge grandissant dans le dos. Son chef s'approcha de lui et lui dit : « Bon travail mais vous allez me nettoyer ça, pas de scandale ! » avec un sourire que Karl ne connaissait que trop bien.


4.


Voilà trois semaines que Justine était enfermée dans le petit appartement que ses parents occupaient depuis que CA avait commencé. Elle ne comprenait pas tout ce qu'il se passait mais elle savait tout de même qu'elle ne reverrait plus grand-mère et oncle Tobias. Papa et Maman lui avaient dit qu'ils étaient partis faire un long voyage mais Justine savait qu'il ne s'agissait pas de douces vacances au bord de la mer. Elle savait aussi qu'elle ne retournerait pas à l'école de si tôt et qu'elle ne reverrait plus sa copine Lucille. Mais ce qu'elle ne savait pas c'est pourquoi ses amies avaient subitement arrêté de lui parler, pourquoi le maître avait été si méchant jusqu'à demander à ses parents de ne plus les emmener, elle et son frère, à l'école.

Justine vit sa mère sortir ses souliers et une immense joie l'envahit : « On va sortir ? » lui demanda-t-elle. Sa mère hocha la tête doucement de haut en bas avec un petit sourire. « Oui lui répondit-elle, on va voir un ami ».

Justine alla se préparer et chercha sa plus belle robe dans son armoire. Ces derniers temps ses parents n'avaient plus d'argent pour acheter de nouveaux habits et tous ceux qu'elle avait étaient affublés de pièces d'un même tissu pour rapiécer les trous. Cela rendait ses robes moins jolies mais sa mère avait tout de même essayé de les coudre en faisant de jolies formes.

La famille sortit et se mit en route. L'ami en question habitait à plusieurs kilomètres de là mais voilà bien longtemps que Justine n'avait plus pris le métro avec ses parents. Tant pis, elle était si heureuse de sortir que ça ne la dérangeait pas de marcher sous le soleil.

Au bout de quelques minutes ils arrivèrent sur un petit parc. Le souvenir de Lucille, de leurs heures de jeu, s'inventant des histoires fantastiques sur les balançoires lui revint en tête.

Justine se retourna et demanda : « S'il te plait Maman ! ». Voilà des mois qu'elle n'avait plus joué sur ces balançoires, plus joué tout court même !

Après l'avoir supplié deux bonnes minutes ses parents cédèrent. « Mais juste une minute et après on y va ! » dit son père. Justine et son frère se précipitèrent vers les balançoires. Comme avant !

Tout à coup elle LES vit arriver. Ses parents l'avaient averti de se méfier d'EUX, de ne jamais leur adresser la parole. Ces derniers temps ils lui avait même dit de se cacher si elle venait à les croiser. Un soir, alors que ses parents la croyait endormie, elle avait entendu que c'était EUX qui avaient emmené son oncle Tobias.

La peur envahit Justine et elle cria pour avertir ses parents. Ces derniers se retournèrent. La petite fille prit son frère et courut pour se mettre à l'abri mais il était trop tard : un soldat l'attrapa par l'épaule tandis qu'un autre essayait d'attraper son petit frère, plus petit et agile qu'elle. Un bruit trop familier de mitraillette lui fit fermer les yeux et quand elle les rouvrit elle vit son frère solidement empoigné par un soldat, un morceau de chemise déchiré gisant au sol.

Le soldat lui cria un ordre qu'elle ne comprit pas mais elle savait qu'il fallait avancer. Les larmes lui cachaient le visage mais elle vit tout de même en partant, dans le parc, un homme allongé par terre et un morceau de chemise déchiré sur lequel était cousu grossièrement l'étoile jaune que son frère et tous les membres de sa famille portaient depuis des mois ...

dimanche, mai 13, 2007

Comme un air de vacances

Dimanche pluvieux, le nez dans les fiches de prep. Allez on se change les idées ! Nous sommes partis non pas 500 mais à 2 dans la nouvelle Maomobile sur la route en direction de la forêt de Chizé (10 minutes de la maison) mais nous sommes finalement arrivés sur l'île d'Oléron (1h30 de route, de l'autre côté de Chizé) pour profiter du beau soleil qui faisait défaut 100 kilomètres plus loin dans le continent.

Un vent à décorner les boeufs mais comme un air de vacances, dix degrés en moins ...

Petit arrêt au port de la Cotinière (pourvoyeur en langoustine de tous les marchés de la région) pour profiter de l'air iodé et des bateaux qui avaient mis leurs habits de fête (on ne voit pas car mon téléphone prend de piètres photos mais tous les bateaux étaient décorés de fanions de toutes les couleurs).

Puis balade à St Trojan les Bains (seuls les geeks noteront le petit trait d'humour propre à cette ville thermale) dans la pinède (nous sommes bien sur l'île d'Oléron et non pas sur les îles de Lérins, ne déplaise aux sudistes affirmés, pour ceux qui ont l'esprit médiateur on peut parler, comme Mr Maoria, des îles d'Olérins ...).

La marée descendait et les gens arrivaient avec seau et râteau : eh oui vive la pêche à pied dans la vase (j'ai essayé quand j'étais jeune) pour y pêcher des coques !


J'aime bien cette photo, il était près de 19h00, la plage était déserte (vu le vent ça se comprend) ...

lundi, mai 07, 2007

Dimanche